You know: fish, chips, cup ‘o tea, bad food, worse weather, Mary fucking Poppins… LONDON

Après le plus grand événement B2B d’europe, le BCB, je me retrouve dans le plus grand événement B2C. Reparti géographiquement sur tout Londres durant une semaine, la London Cocktail Week s’offre deux Hubs principaux (Soho et Spitafields) et 275 bars partenaires ! J’avais décidé de proposer mes services de volontaires pour pouvoir accéder à certains événements Backstage et je me suis retrouvé à Spitafields à gérer une petite équipe de bénévoles qui cherchaient à mettre le pieds à l’étrier dans événementiel. Les événements qui me permettent d’annoncer que je serais de retour en 2016 sont les suivants :

La 50 best bars party – Compte à rebours des 50 meilleurs bars du monde dans une église désacralisée, avec des champions du monde tous les 3m, incroyable !

24h bar build – donner un budget à 4 équipes représentant Paris, Londres, Singapour et NY pour créer Ex Nihilo un bar dans une salle de congrès et nous faire voter avec des des jetons pour chaque cocktails, ça ressemble à une idée géniale. Je vous rassure, ça l’est ! Victoire de Londres sur ses terres, c’est 1966 à nouveau.

Clotilde Lataille – Une française qui fait sa place à Londres dans le monde du bar et celui de l’art, puis arrive à faire coïncider les deux, c’est balèze.

Steve Schneider : Déjà rencontré au BCB 2014, Steve est Head Bartender à Employees Only, un des 5 meilleurs bars du monde. Véritable globe trotter, il dispense aux 4 coins de la planète son savoir faire en terme de bartending et depuis peu, de bar manager. Organisée par #TheLondonSessions, ce séminaire est mon highlight LCW2015.

J’ai également eu plusieurs séminaires mi figues mi raisin :

Masterclass Elyx – Conçue par Andrea Patelli pour travailler avec la glace suédoise translucide, cette session s’est avérée grand public et à ce titre je suis resté un peu sur ma faim.

Cachaca – Leblon avait invité un journaliste brésilien passionné de Cachaca pour parler d’un projet mapadecachaca.com qui consiste à répertorier un maximum de producteurs. Un peu trop axée sur l’aspect social de la cachaca au Brésil, cette session n’en restait pas moins intéressante au niveau de l’ouverture d’esprit.

Et un séminaire moisi (il en fallait un !) : La croisière Vestal. Organisée par le propriétaire de la distillerie Vestal en Pologne, cette croisière était un exercice de réalisation de gin. Trop simpliste, j’avoue avoir été extrêmement déçu par la qualité de l’activité. Le fait d’avoir été pris à partie par une grosse anglaise qui ne sait pas lire n’a probablement rien arrangé.

Rien de bien dramatique toutefois, on sera sur les bords de la Tamise en 2016.